Victor Koretzky, né le 26 août 1994 à Béziers, est un coureur cycliste français spécialiste de VTT cross-country qui a plusieurs titres de Champion de France, d’Europe et du monde à son palmarès.
Depuis 2022, il fait de la route.
Son frère Clément est également cycliste.
Conduire un vélo électrique relève du même code de la route que celui des vélos non motorisés. Le respect du code de la route protège tous les usagers de la route. Il faut alors connaître les panneaux et les bonnes règles de circulation : respecter le caractère prioritaire ou non prioritaires des intersections, respecter les piétons, avertir son intention de changer de direction… Pour un meilleur partage de la route, les règles du code de la route restent les mêmes pour tous ! Néanmoins la législation incite les VAE (vélos à assistance électrique) à ne pas dépasser la puissance nominale électrique à 250 W, soit une assistance à la vitesse jusqu’à de 25 km/h. Au-delà de cette vitesse, il faudra pédaler pour gagner encore quelques km/h !
Les vélos électriques dépassant les 25 km/h
Les vélos électriques ayant une vitesse maximale de 45km/h (appelé les “speedelec”) seront soumis à une autre législation et ne pourront prétendre à tous les droits accordés aux cycles et aux VAE classiques. En effet, ces vélos électriques puissants devront être munis d’une plaque d’immatriculation, ils sont soumis à une formation minimale de 7 heures et ils sont interdits aux enfants de moins de 14 ans.
Quelle assurance choisir ?
Pour les vélos électriques dont la puissance est inférieure à 250 W, il n’y pas d’assurance obligatoire. Les dommages causés aux autres devront être pris en charge par le responsable. La responsabilité civile couvre ce type d’incident. Une assurance spécifique peut être souscrite pour une garantie contre le vol et la dégradation ou la protection juridique du vélo à assistance électrique.
Les vélos électriques affichant une puissance supérieure à 250 W devront quant à eux, être assurés tel qu’un cyclomoteur pour pouvoir circuler.