Le compte rendu :
Bonjour à Tous-tes,
Nous étions 8 au départ sur le parking de la gare de Boussens : (de gauche à droite) Lolo, Jean-Paul, Didier, Edmond, Pascalou, Manu, Miguel et moi (non visible parce que je ne peux pas être partout).
Nous avons bien failli partir sans Edmond qui est venu à l’improviste et a eu toutes les peines du monde à trouver le point de départ. Il finit par arriver sur le parking du rendez-vous en remplaçant la voix féminine de son GPS par celle d’un homme.
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Pascalou a bien “intuité” en nous proposant une sortie au départ de Boussens. Alors que le vent souffle à plus de 90 km/h sur la région toulousaine, il ne dépasse pas les 10 km/h en rafales, quand il y en a, sur le Comminges.
Dans son briefing de départ, Jean-Paul nous informe que le parcours comporte 6 cols et que nous commençons par “le redoutable” col de Hontarrède dont je ne retiens ni l’altitude, ni le D+, tellement je suis impressionné par ce col si proche de chez moi et que je ne connais pas.
Dès les premiers tours de pédales, les 2 mobylettes, Manu et Edmond, assurent le tempo. Le problème, c'est qu'elles sont débridées.
Grâce à Lolo, nous avons plusieurs moments de repos au cours de la journée... pendant qu'il se bat avec ses rustines.
Didier, qui avait peur de ne pas suivre, fait tout le parcours, à l'exception du dernier col, celui d'Herran, que seules les grosses cylindrées escaladent ; y compris Miguel (prononcer à l'espagnol : Migouèl).
Car il apprend très vite, l'Andalou. Il est de plus en plus impressionnant, puisqu'il monte ce dernier col avec le 38 X 25. Je vous le dis, quand il aura tout compris, il va faire très mal au peloton.
La brêle de la journée c'est moi. Je zappe le col des Ares qui est abordé par le Pas du Bouchet, et bien sûr celui d'Herran qui est le plus gros morceau de la journée.
Le col de Larrieu suffisait à mon bonheur.
Par contre, le Jean-Paul nous en a encore fait une petite en traçant le circuit ; c'est plus fort que lui ! Aujourd’hui, ce n'est pas 1, mais 2 routes en gravel qu'il nous a trouvé. Il ferait bien de se méfier, car on va finir par venir faire les sorties à VTT.
Si un jour nous refaisons ce joli parcours, il faudra se souvenir que le mieux est de manger le sandwich à Juzet d'Izaut et non à Aspet. Ça permet d'être un peu plus performant pour attaquer le col de Larrieu.
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Et puis pour les gens moins en forme, qui veulent zapper les Ares, il faudra aussi se souvenir qu'ils peuvent couper au village de Garnère en prenant la direction d’Aspet et attaquer le col de Buret à Juzet de l'Hôtel par la route qui monte vers Juzet d'Izaut (ATTENTION ! A l'entrée du village, ne pas prendre la D39 qui monte vers Arbon, parce que ça risque de vous faire drôle. Prendre la D39C un peu plus loin dans le village). Avec cette variante, les gens en sous-forme auront un peu moins de distance et de D+
La journée se termine au Fournil de Bea.
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A+,
Marco
Message de Manu reçu après avoir déposé le compte rendu :
Bonjour à tous,
Pour info le "col" fait hier à partir d'Arbas jusque à Herran est à 9,5% de moyenne sur 4km. Avec 1km à plus de 16%.
Au croisement, à droite direction la Fontaine de l'Ours, le col aurait fait 8km à 9,5%... Considéré comme un des plus difficiles de cette partie des Pyrénées
Voilà voilà...
Bravo à Miguel qui n'avait jamais fait de col, je comprends mieux pourquoi il en bavait à Herran
Manu