Bonjour à Tous.tes,
Demain lundi 3 février, Météo France nous annonce du soleil, un léger vent ONO et 12° de 13h30 à 17h.
C’est le temps d’hiver idéal pour ceux qui en ont ras le casque de faire du home-trainer face à la tapisserie.
Si le cœur vous en dit, je vous invite à aller rouler à VTT sur le rebord de la première terrasse occidentale de la Garonne pour voir 5 châteaux des XVIIe et XVIIIe siècles et autant de parcs et zones de loisirs.
Nous pourrions terminer à La Cambuse de Portet, devant une ou plusieurs crêpes avec une boisson chaude. Mais pour ça, il est impératif que je connaisse le nombre de personnes car cet établissement, fermé le lundi, ouvrira exceptionnellement pour nous si nous sommes un groupe.
Le circuit fait 39,99 kilomètres avec un D+ de… 56 mètres.
Vous ne devriez pas salir vos VTT.
Dépaysement garanti.
Le départ est fixé à 13h30 devant le Club-House du CVR à Roquettes, face aux tennis, pour un retour dans nos pénates à 17h00 au plus tard.
Peut-être à lundi,
Marco
2025 02 03 La 10ème Malandinade du CVR (les 5 châteaux)
2025 02 03 La 10ème Malandinade du CVR (les 5 châteaux)
Re: 2025 02 03 La Malandinade des 5 châteaux
Bonjour à Tous.tes,
Voici le résumé de cette Malandinade “culturelle” accessible à tous, puisque pour ceux qui n'aiment pas lire, Lionel “a fourni” un maximum d'images.
Pas de chance, l’occasion de faire une sortie culturelle avec les Malandins du PCC est tombée à l’eau.
En effet, Georges a son VTT AE chez le garagiste, Michel qui était partant hier est sur le point de retourner à l’infirmerie et Guytou a un rendez-vous.
Mais ce n’est que partie remise !
Seuls Daniel, Didier (un p’tit nouveau Malandin), Jean-Marc, Lionel et moi, sommes inscrits pour ce circuit citadin, mais pas que, puisqu’il nous donne l’impression d’être à la campagne.
Mais OH ! Agréable surprise ! Edmond de la Carrerasse pointe sa roue avant au club-house du CVR sans prévenir. Après avoir fait du vélo route à 28.4 km/h de moyenne hier matin avec 1° au départ, ça va lui faire drôle de passer au VTT à 17 km/h cet après-midi avec une tempête de ciel bleu.
Nous lui interdisons quand même de se mettre à l’avant du peloton pendant toute la Malandinade.
Le circuit qui commence par le château de Roquettes (qu’il ne faut pas confondre avec le Château Roquettes qui est un Saint Émilion Grand cru) se nomme aujourd’hui Château du Centre socioculturel François Mitterrand.
“En l’état actuel des recherches, la date précise de l’édification du château nous est inconnue. Nous la situons à la fin du XVIe siècle ou début du XVIIe siècle. Il est établi qu’en 1734 les Chartreux de Toulouse (St Pierre des Cuisines) sont co-seigneurs de Roquettes. Cette communauté religieuse possède alors 145 arpents. A la révolution les Chartreux sont également propriétaires du moulin qui est à l'entrée du village en venant de Toulouse.
Durant le XIXe siècle plusieurs familles toulousaines (Gavarret-Rouaix, d’Orgaix, Marestaing, Lauzun) se succèdent comme propriétaires du château.
En 1901, la famille Paumès acquiert la propriété qui sera progressivement désertée.
En 1982, Etienne Paumès vend le château, alors très délabré (il y a des arbres qui poussent à l'intérieur), à la commune de Roquettes qui décide en 1986 de le réhabiliter et y installe le centre socioculturel qui sera inauguré le 28 janvier 1989”.(site de la Mairie de Roquettes)
(plus d’info ici : https://www.roquettes.fr/historique/ )
........
Nous atteignons rapidement le Parc de Gironis ( pourtant, Edmond est resté à l’arrière du peloton).
Si vous cherchez un endroit tranquille où vous détendre à l'abri de l’agitation de la ville, le parc de Gironis, peu connu à Toulouse, est un petit havre de paix situé dans le quartier de La Fourguette.
.......
Nous nous dirigeons ensuite vers le Château de Tabar.
Je vous avais promis pour cette Malandinade le dépaysement, mais personne n’’y croyait vraiment. Bien sûr, ce dépaysement ne donne quand même pas “le sentiment de submersion” de Bayrou. Mais le joli château de Tabar, même s’il a toujours gardé son cachet d’origine, est transformé en… mosquée. Elle se nomme As-Salam, ce qui veut dire “La Paix”.
(de G à D : Didier, Daniel, Jean-Marc, Marco et Edmond, photo prise par Lionel comme la majorité de celles qui vont suivre)
Je n’ai pas trouvé beaucoup d'informations sur ce château si ce n’est qu’avant d’être une mosquée, ce beau bâtiment était un ancien château nommé Tabar, vendu au culte musulman par une richissime veuve dans les années 80. D’après une personne rencontrée sur place, il semblerait qu’au moment de la vente, c’était un hôtel. Cette information reste à vérifier.
https://lafourguette.fr/le-quartier/#histoire
......
Voici le résumé de cette Malandinade “culturelle” accessible à tous, puisque pour ceux qui n'aiment pas lire, Lionel “a fourni” un maximum d'images.
Pas de chance, l’occasion de faire une sortie culturelle avec les Malandins du PCC est tombée à l’eau.
En effet, Georges a son VTT AE chez le garagiste, Michel qui était partant hier est sur le point de retourner à l’infirmerie et Guytou a un rendez-vous.
Mais ce n’est que partie remise !
Seuls Daniel, Didier (un p’tit nouveau Malandin), Jean-Marc, Lionel et moi, sommes inscrits pour ce circuit citadin, mais pas que, puisqu’il nous donne l’impression d’être à la campagne.
Mais OH ! Agréable surprise ! Edmond de la Carrerasse pointe sa roue avant au club-house du CVR sans prévenir. Après avoir fait du vélo route à 28.4 km/h de moyenne hier matin avec 1° au départ, ça va lui faire drôle de passer au VTT à 17 km/h cet après-midi avec une tempête de ciel bleu.
Nous lui interdisons quand même de se mettre à l’avant du peloton pendant toute la Malandinade.
Le circuit qui commence par le château de Roquettes (qu’il ne faut pas confondre avec le Château Roquettes qui est un Saint Émilion Grand cru) se nomme aujourd’hui Château du Centre socioculturel François Mitterrand.
“En l’état actuel des recherches, la date précise de l’édification du château nous est inconnue. Nous la situons à la fin du XVIe siècle ou début du XVIIe siècle. Il est établi qu’en 1734 les Chartreux de Toulouse (St Pierre des Cuisines) sont co-seigneurs de Roquettes. Cette communauté religieuse possède alors 145 arpents. A la révolution les Chartreux sont également propriétaires du moulin qui est à l'entrée du village en venant de Toulouse.
Durant le XIXe siècle plusieurs familles toulousaines (Gavarret-Rouaix, d’Orgaix, Marestaing, Lauzun) se succèdent comme propriétaires du château.
En 1901, la famille Paumès acquiert la propriété qui sera progressivement désertée.
En 1982, Etienne Paumès vend le château, alors très délabré (il y a des arbres qui poussent à l'intérieur), à la commune de Roquettes qui décide en 1986 de le réhabiliter et y installe le centre socioculturel qui sera inauguré le 28 janvier 1989”.(site de la Mairie de Roquettes)
(plus d’info ici : https://www.roquettes.fr/historique/ )
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Nous atteignons rapidement le Parc de Gironis ( pourtant, Edmond est resté à l’arrière du peloton).
Si vous cherchez un endroit tranquille où vous détendre à l'abri de l’agitation de la ville, le parc de Gironis, peu connu à Toulouse, est un petit havre de paix situé dans le quartier de La Fourguette.
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Nous nous dirigeons ensuite vers le Château de Tabar.
Je vous avais promis pour cette Malandinade le dépaysement, mais personne n’’y croyait vraiment. Bien sûr, ce dépaysement ne donne quand même pas “le sentiment de submersion” de Bayrou. Mais le joli château de Tabar, même s’il a toujours gardé son cachet d’origine, est transformé en… mosquée. Elle se nomme As-Salam, ce qui veut dire “La Paix”.
(de G à D : Didier, Daniel, Jean-Marc, Marco et Edmond, photo prise par Lionel comme la majorité de celles qui vont suivre)
Je n’ai pas trouvé beaucoup d'informations sur ce château si ce n’est qu’avant d’être une mosquée, ce beau bâtiment était un ancien château nommé Tabar, vendu au culte musulman par une richissime veuve dans les années 80. D’après une personne rencontrée sur place, il semblerait qu’au moment de la vente, c’était un hôtel. Cette information reste à vérifier.
https://lafourguette.fr/le-quartier/#histoire
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Re: 2025 02 03 La Malandinade des 5 châteaux
Le lac de La Reynerie est lui aussi rapidement atteint en slalomant entre les barres des immeubles.
PHOTO 02-1
Sans nous forcer, nous pouvons nous imaginer sur le quai d’un des ports de la côte sud de la Méditerranée. Formidable ! En quelques coups de pédales, tout y est, même le ciel bleu de l’Afrique du nord.
https://actu-locale.fr/Toulouse/la-reyn ... -pour-2030
Nous entrons dans le Parc du Château de la Reynerie par le côté du lac.
(pour info, si un lecteur voulait faire cette promenade, qu’il sache que les vélos sont interdits. Maintenant, en roulant à l’allure d’un joggeur, tout est discutable avec la police)
PHOTO 02-1
Sans nous forcer, nous pouvons nous imaginer sur le quai d’un des ports de la côte sud de la Méditerranée. Formidable ! En quelques coups de pédales, tout y est, même le ciel bleu de l’Afrique du nord.
https://actu-locale.fr/Toulouse/la-reyn ... -pour-2030
Nous entrons dans le Parc du Château de la Reynerie par le côté du lac.
(pour info, si un lecteur voulait faire cette promenade, qu’il sache que les vélos sont interdits. Maintenant, en roulant à l’allure d’un joggeur, tout est discutable avec la police)
Re: 2025 02 03 La Malandinade des 5 châteaux
Nous avons la chance de tomber sur la personne qui a les clefs d’un petit bâtiment que nous pensons être un lavoir.
Quelle erreur ! Il s’agit d’un miroir d’eau et de sa source.
Le bassin octogonal
L'ensemble du château et parc est un exemple rare, par sa qualité et sa conservation, d'une demeure seigneuriale de la fin du XVIIIe siècle. Construit pour Jacques Dubarry, qui acquiert le domaine en 1781, l'édifice est bâti en briques et utilise les formes de l'architecture classique. Il paraît (parce que nous n’y sommes pas entrés) qu'un grand salon circulaire précédé d'un vestibule constitue le corps central flanqué, d'une part, de deux chambres avec leurs commodités, et d'autre part, d'une salle à manger et d'un petit salon avec leur dégagement. Des chambres de service en mezzanine se distribuent au-dessus des parties latérales. A l'intérieur, décor stuqué.
Le château de Reynerie et son parc appartiennent à cette ceinture de châteaux implantés aux XVIIe et XVIIIe siècles sur le rebord de la première terrasse occidentale de la Garonne par quelques riches familles terriennes toulousaines. Le domaine couvrait à l'époque 40 ha. Le plan du jardin inférieur fait référence au style régulier, encore bien implanté au milieu du XVIIIe siècle. La disposition à deux niveaux de terrasses, l'axe de perspective central avec son miroir d'eau, le canal et son ancien vivier, le puits, l'abside à concrétions et le bassin octogonal, pourraient remonter à cette période. Bien que les archives ne livrent pas d'informations claires sur une re-création de jardin par la famille Dubarry, des aménagements importants de style néoclassique (escalier, ancienne orangerie, nymphée) paraissent relever du dernier quart du XVIIIe siècle. De plus, la présence d'essences rares d'importation exotique, l'aménagement de la pièce d'eau avec sa serpentine, sur la terrasse supérieure et sur les allées du jardin inférieur, traduisent une intervention dans le style paysager romantique datable de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle. La serre serait plus récente (XIXe siècle) ainsi que les sculptures (lions couchés) de l'escalier qui évoquent une production Virebent. Une modification spécifique a été opérée sur la partie ouest de la terrasse supérieure durant la deuxième moitié du XXe siècle (rond-point central, laurières, parterres symétriques à massifs de roses) par les services municipaux. De cette période également datent les plantations de palmiers et les plate-bandes de style exotique qui ont orné les abords du miroir d'eau central.
Le château a été acquis par la ville de Toulouse en 2009.
https://monumentum.fr/monument-historiq ... e-reynerie
N’ayant pas trouvé l’Orangerie (ce sera pour une autre fois), nous ressortons du parc par la partie haute côté pigeonnier, d’où nous pouvons admirer le lac et le quartier.
......
Nous nous dirigeons ensuite vers le Château et le parc de la Mounède en passant près de l’atelier du métro.
Quelle erreur ! Il s’agit d’un miroir d’eau et de sa source.
Le bassin octogonal
L'ensemble du château et parc est un exemple rare, par sa qualité et sa conservation, d'une demeure seigneuriale de la fin du XVIIIe siècle. Construit pour Jacques Dubarry, qui acquiert le domaine en 1781, l'édifice est bâti en briques et utilise les formes de l'architecture classique. Il paraît (parce que nous n’y sommes pas entrés) qu'un grand salon circulaire précédé d'un vestibule constitue le corps central flanqué, d'une part, de deux chambres avec leurs commodités, et d'autre part, d'une salle à manger et d'un petit salon avec leur dégagement. Des chambres de service en mezzanine se distribuent au-dessus des parties latérales. A l'intérieur, décor stuqué.
Le château de Reynerie et son parc appartiennent à cette ceinture de châteaux implantés aux XVIIe et XVIIIe siècles sur le rebord de la première terrasse occidentale de la Garonne par quelques riches familles terriennes toulousaines. Le domaine couvrait à l'époque 40 ha. Le plan du jardin inférieur fait référence au style régulier, encore bien implanté au milieu du XVIIIe siècle. La disposition à deux niveaux de terrasses, l'axe de perspective central avec son miroir d'eau, le canal et son ancien vivier, le puits, l'abside à concrétions et le bassin octogonal, pourraient remonter à cette période. Bien que les archives ne livrent pas d'informations claires sur une re-création de jardin par la famille Dubarry, des aménagements importants de style néoclassique (escalier, ancienne orangerie, nymphée) paraissent relever du dernier quart du XVIIIe siècle. De plus, la présence d'essences rares d'importation exotique, l'aménagement de la pièce d'eau avec sa serpentine, sur la terrasse supérieure et sur les allées du jardin inférieur, traduisent une intervention dans le style paysager romantique datable de la fin du XVIIIe siècle ou du début du XIXe siècle. La serre serait plus récente (XIXe siècle) ainsi que les sculptures (lions couchés) de l'escalier qui évoquent une production Virebent. Une modification spécifique a été opérée sur la partie ouest de la terrasse supérieure durant la deuxième moitié du XXe siècle (rond-point central, laurières, parterres symétriques à massifs de roses) par les services municipaux. De cette période également datent les plantations de palmiers et les plate-bandes de style exotique qui ont orné les abords du miroir d'eau central.
Le château a été acquis par la ville de Toulouse en 2009.
https://monumentum.fr/monument-historiq ... e-reynerie
N’ayant pas trouvé l’Orangerie (ce sera pour une autre fois), nous ressortons du parc par la partie haute côté pigeonnier, d’où nous pouvons admirer le lac et le quartier.
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Nous nous dirigeons ensuite vers le Château et le parc de la Mounède en passant près de l’atelier du métro.
Re: 2025 02 03 La Malandinade des 5 châteaux
"Au XVII ème siècle, une famille de laboureurs, Les DARBOU, furent propriétaires durant quatre siècles de l'exploitation agricole dénommée : « Le Clôt de l'Olm ». Les descendants accédèrent aux plus hautes fonctions de la société toulousaine. Ils sont devenus maîtres monnayeurs, d'où la dénomination Château du Monédier, puis Château de La Mounède".
Il semble qu’en 1996 la ville de Toulouse en devient propriétaire.
"En 2016, suite à un appel à projet, elle délègue la gestion du château aux PEP 31 (Association Départementale des Pupilles de l'Enseignement Public de la Haute-Garonne créée après la 1ère guerre mondiale) pour y faire un hébergement collectif de type Centre International de Séjour".
https://www.lamounede.org/l-historique
.......
Puis c’est la traversée de La Ramée
La base de loisirs de La Ramée est située sur la commune de Tournefeuille. Elle fait 243 ha sur lesquels il y a 3 lacs dont le principal est de 44 ha.
Mais tout le monde le sait !
.........
La descente vers le Château de Portet se fait par le chemin bien connu de tous les Malandins de France et de Navarre, c'est-à-dire par la route en site propre des bus de Cugnaux à Basso-Cambo, Francazal et le village de Portet.
(l’équipe au complet)
"Le château a été bâti en 2 époques (en 1738 puis au début du 19e siècle)
Au XVIIe siècle, il appartenait à un avocat du Parlement, Maître Belly. Ces lieux étaient nommés Les Mouscaillous, en raison des moustiques qui envahissaient le secteur (Là, ça n’a pas changé)".
Je crois que le Professeur Ficat a été le dernier propriétaire avant l’achat par la Mairie, mais c'est à vérifier.
https://www.portetgaronne.fr/le-chateau-de-portet/
Didier, que sa religion ou son diététicien lui interdit de manger des crêpes, nous quitte à ce moment là.
C'est ballot ! La Cambuse est là, juste à côté !
......
Il semble qu’en 1996 la ville de Toulouse en devient propriétaire.
"En 2016, suite à un appel à projet, elle délègue la gestion du château aux PEP 31 (Association Départementale des Pupilles de l'Enseignement Public de la Haute-Garonne créée après la 1ère guerre mondiale) pour y faire un hébergement collectif de type Centre International de Séjour".
https://www.lamounede.org/l-historique
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Puis c’est la traversée de La Ramée
La base de loisirs de La Ramée est située sur la commune de Tournefeuille. Elle fait 243 ha sur lesquels il y a 3 lacs dont le principal est de 44 ha.
Mais tout le monde le sait !
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La descente vers le Château de Portet se fait par le chemin bien connu de tous les Malandins de France et de Navarre, c'est-à-dire par la route en site propre des bus de Cugnaux à Basso-Cambo, Francazal et le village de Portet.
(l’équipe au complet)
"Le château a été bâti en 2 époques (en 1738 puis au début du 19e siècle)
Au XVIIe siècle, il appartenait à un avocat du Parlement, Maître Belly. Ces lieux étaient nommés Les Mouscaillous, en raison des moustiques qui envahissaient le secteur (Là, ça n’a pas changé)".
Je crois que le Professeur Ficat a été le dernier propriétaire avant l’achat par la Mairie, mais c'est à vérifier.
https://www.portetgaronne.fr/le-chateau-de-portet/
Didier, que sa religion ou son diététicien lui interdit de manger des crêpes, nous quitte à ce moment là.
C'est ballot ! La Cambuse est là, juste à côté !
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Re: 2025 02 03 La Malandinade des 5 châteaux
Ah ! La Cambuse !
C’est samedi dernier que j'ai découvert ce café associatif lors du dernier repérage pour cette sortie.
J'ai été frappé par l'ambiance. Ça m’a rappelé l’époque de mon enfance où la télévision n’existait pas, et que les discussions de bistrots se faisaient dans le bar du coin ou dans celui du village. Quand un client, aussi abruti qu’un éditorialiste des chaînes d’opinion actuelles, commençait à dire des inepties, il était mis aussitôt à l’écart.
Je demande à Dominique, la charmante “tenancière”, si elle peut accueillir un petit groupe lundi prochain.
......
Elle respecte sa parole d'ouvrir exceptionnellement ce lundi après-midi pour nous faire des crêpes, alors que ce jour-là, c’est habituellement fermé.
Et ce coquin de Lionel, adhérent de La Cambuse, ne nous en a jamais parlé.
Le hasard (un peu aidé) fait que nous y retrouvons également Jeanie et Nicole.
(voir à propos de La Cambuse ici : https://www.la-cambuse.fr/ )
Dominique et Lionel
de gauche à droite : Jeanie, Lionel, Daniel, Edmond, Jean-Marc et Nicole
Lionel, sans qui vous n’auriez pas eu la majorité des photos qui ont agrémenté ce résumé
Pour conclure, je pense que Claude Malandin ( viewtopic.php?t=47 ) nous a suivi tout l’après-midi depuis le balcon du Paradis des cyclistes, puisqu’il n’y avait pas de nuages dans le ciel.
Il a dû se dire : “Beau parcours, belle équipe, bonne ambiance et un zeste de culture, ça c'est de la Malandinade ! Il ne manquait que mes Malandins de Pinsaguel”.
Et il a raison Not'Claude, car comme disait Abraham Lincoln, "A la fin, ce ne sont pas les années écoulées de votre vie qui comptent, mais la vie qui a inondé ces années" (citation dans l'Éphéméride d'hier : viewtopic.php?t=2284 ).
A+,
Marco
Le tracé est l'identifiant Openrunner 20627936
C’est samedi dernier que j'ai découvert ce café associatif lors du dernier repérage pour cette sortie.
J'ai été frappé par l'ambiance. Ça m’a rappelé l’époque de mon enfance où la télévision n’existait pas, et que les discussions de bistrots se faisaient dans le bar du coin ou dans celui du village. Quand un client, aussi abruti qu’un éditorialiste des chaînes d’opinion actuelles, commençait à dire des inepties, il était mis aussitôt à l’écart.
Je demande à Dominique, la charmante “tenancière”, si elle peut accueillir un petit groupe lundi prochain.
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Elle respecte sa parole d'ouvrir exceptionnellement ce lundi après-midi pour nous faire des crêpes, alors que ce jour-là, c’est habituellement fermé.
Et ce coquin de Lionel, adhérent de La Cambuse, ne nous en a jamais parlé.
Le hasard (un peu aidé) fait que nous y retrouvons également Jeanie et Nicole.
(voir à propos de La Cambuse ici : https://www.la-cambuse.fr/ )
Dominique et Lionel
de gauche à droite : Jeanie, Lionel, Daniel, Edmond, Jean-Marc et Nicole
Lionel, sans qui vous n’auriez pas eu la majorité des photos qui ont agrémenté ce résumé
Pour conclure, je pense que Claude Malandin ( viewtopic.php?t=47 ) nous a suivi tout l’après-midi depuis le balcon du Paradis des cyclistes, puisqu’il n’y avait pas de nuages dans le ciel.
Il a dû se dire : “Beau parcours, belle équipe, bonne ambiance et un zeste de culture, ça c'est de la Malandinade ! Il ne manquait que mes Malandins de Pinsaguel”.
Et il a raison Not'Claude, car comme disait Abraham Lincoln, "A la fin, ce ne sont pas les années écoulées de votre vie qui comptent, mais la vie qui a inondé ces années" (citation dans l'Éphéméride d'hier : viewtopic.php?t=2284 ).
A+,
Marco
Le tracé est l'identifiant Openrunner 20627936