Souvenirs du Tour : Robert Millar
Posté : 24 mars 2023 08:30
Robert Millar. Grimpeur Ecossais qui a eu sa chance pendant le Tour de France 1984 (4e du général).
Mais c'est surtout un spécialiste du Maillot à Pois, classement où il finit 1er en 84, 3e en 83-85, 4e en 89 .
Millar porte la tenue en 83-84-86.
PORTRAIT. L’ex-coureur du Tour est devenu une « femme heureuse »
L’Écossais Robert Millar, ex-champion cycliste, meilleur grimpeur du Tour de France 1984, a changé de sexe à l’arrêt de sa carrière. Philippa York a fait son retour sur le Tour ces jours-ci.
Plus d’un quart de siècle plus tard, elle a fini par recroiser les routes du Tour de France. « J’avais oublié à quel point la France était belle », confie-t-elle dans un français presque parfait, regard malicieux. En salle de presse, où elle écrit des chroniques pour le site spécialisé cyclingnews , elle est là, discrète, passant inaperçue au milieu des journalistes de la plus belle course du monde. Qui, parmi ceux-là, savent qui elle est ?
Philippa York a 62 ans. La dernière fois qu’elle mettait les pieds sur le Tour, c’était en 1993. Elle s’appelait Robert Millar et s’apprêtait à conclure une très belle carrière dans le vélo. L’Écossais, « grimpeur très talentueux », selon son ancien coéquipier et directeur sportif Roger Legeay, avait, par exemple, décroché le maillot à pois sur la Grande Boucle 1984, mais aussi signé trois victoires d’étapes sur le Tour, une autre sur le Tour d’Italie ou le Tour d’Espagne. « C’était un grand pro, très exigeant avec lui-même », relate Roger Legeay.
« Je savais, au fond de moi, que quelque chose n’allait pas »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippa_York
Mais c'est surtout un spécialiste du Maillot à Pois, classement où il finit 1er en 84, 3e en 83-85, 4e en 89 .
Millar porte la tenue en 83-84-86.
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L’Écossais Robert Millar, ex-champion cycliste, meilleur grimpeur du Tour de France 1984, a changé de sexe à l’arrêt de sa carrière. Philippa York a fait son retour sur le Tour ces jours-ci.
Plus d’un quart de siècle plus tard, elle a fini par recroiser les routes du Tour de France. « J’avais oublié à quel point la France était belle », confie-t-elle dans un français presque parfait, regard malicieux. En salle de presse, où elle écrit des chroniques pour le site spécialisé cyclingnews , elle est là, discrète, passant inaperçue au milieu des journalistes de la plus belle course du monde. Qui, parmi ceux-là, savent qui elle est ?
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« Je savais, au fond de moi, que quelque chose n’allait pas »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippa_York