Vingegaard et Van Aert dopés, les lourdes accusations !
Posté : 23 août 2022 09:13
Jérôme Chiotti est un cas à part dans l’histoire du cyclisme.
En 2000, alors qu’il n’a jamais été contrôlé positif, l’ancien champion du monde de VTT passe aux aveux et explique avoir eu recours au dopage
lors de son passage chez Festina.
Une démarche qu’il estimait nécessaire mais qui n’a eu aucun effet.
Et à l’en croire, deux décennies plus tard, le problème du dopage reste entier.
A en croire le natif de Millau, malgré le succès populaire du Tour, les spectateurs et téléspectateurs ne sont pas dupes:
les performances des cadors sont trop grosses pour être vraies. « A part un petit noyau d’abrutis, qui ne comprennent rien au sport,
et veulent croire dans des idoles, tous les autres n’y croient pas.
Ils regardent le Tour, comme je le fais, car c’est un spectacle, a-t-il en effet renchéri.
Van Aert est capable de tout faire.
C’est la première fois dans l’histoire du cyclisme qu’un gars est capable de gagner une étape contre la montre, une étape en montagne, un sprint massif.
Vingegaard, il vient d’où ?
Et il est capable de développer 500 watts pendant 30 minutes, malgré son gabarit. Moi, j’ai su le faire, mais avec l’EPO,
l’hormone de croissance, la testostérone ! »
La période a changé et avec, sans aucun doute, la pharmacopée des équipes.
C’est tout du moins l’avis de Jérôme Chiotti, convaincu que les coureurs utilisent de nouveaux produits, encore inconnus des instances.
« On sait que ça ne peut pas être ces produits, car ils sont décelables, mais il y a quelque chose de nouveau, a-t-il assuré.
Quand Festina a débarqué et a commencé à tout gagner dans les années 90, toutes les autres équipes disaient :
Ce n’est pas possible, que fait Festina ?
Je peux en parler, j’étais à l’époque dans l’équipe du Groupement.
Ensuite quand ils ont embauché Luc Leblanc, on a su que c’était de l’EPO, de l’hormone de croissance, de la testostérone.
Dans 10 ans, ou j’espère avant, on saura qu’il y a un nouveau produit qui circule.
Moi, je ne sais pas, je ne suis plus dans les confidences, on ne va pas venir me voir pour m’en parler ! »
En 2000, alors qu’il n’a jamais été contrôlé positif, l’ancien champion du monde de VTT passe aux aveux et explique avoir eu recours au dopage
lors de son passage chez Festina.
Une démarche qu’il estimait nécessaire mais qui n’a eu aucun effet.
Et à l’en croire, deux décennies plus tard, le problème du dopage reste entier.
A en croire le natif de Millau, malgré le succès populaire du Tour, les spectateurs et téléspectateurs ne sont pas dupes:
les performances des cadors sont trop grosses pour être vraies. « A part un petit noyau d’abrutis, qui ne comprennent rien au sport,
et veulent croire dans des idoles, tous les autres n’y croient pas.
Ils regardent le Tour, comme je le fais, car c’est un spectacle, a-t-il en effet renchéri.
Van Aert est capable de tout faire.
C’est la première fois dans l’histoire du cyclisme qu’un gars est capable de gagner une étape contre la montre, une étape en montagne, un sprint massif.
Vingegaard, il vient d’où ?
Et il est capable de développer 500 watts pendant 30 minutes, malgré son gabarit. Moi, j’ai su le faire, mais avec l’EPO,
l’hormone de croissance, la testostérone ! »
La période a changé et avec, sans aucun doute, la pharmacopée des équipes.
C’est tout du moins l’avis de Jérôme Chiotti, convaincu que les coureurs utilisent de nouveaux produits, encore inconnus des instances.
« On sait que ça ne peut pas être ces produits, car ils sont décelables, mais il y a quelque chose de nouveau, a-t-il assuré.
Quand Festina a débarqué et a commencé à tout gagner dans les années 90, toutes les autres équipes disaient :
Ce n’est pas possible, que fait Festina ?
Je peux en parler, j’étais à l’époque dans l’équipe du Groupement.
Ensuite quand ils ont embauché Luc Leblanc, on a su que c’était de l’EPO, de l’hormone de croissance, de la testostérone.
Dans 10 ans, ou j’espère avant, on saura qu’il y a un nouveau produit qui circule.
Moi, je ne sais pas, je ne suis plus dans les confidences, on ne va pas venir me voir pour m’en parler ! »