Jules Jalabert dispute sa deuxième saison en compétition, à 20 ans.
Posté : 06 août 2022 08:37
Fils du célèbre Laurent Jalabert, Jules Jalabert dispute seulement sa deuxième saison en compétition, à 20 ans.
Le coureur de l’Occitane Cyclisme Formation sera au rendez-vous de l’Estivale Bretonne ce week-end.
"Avant, je ne faisais que de la course à pied, mais j’en avais un peu marre et j’aimais bien faire du vélo. Vu les antécédents familiaux, j’ai voulu essayer. J’ai commencé la saison dernière en troisième catégorie, je suis monté en deuxième en cours de saison et je suis arrivé à l’Occitane cette saison, en N1. Le niveau n’est pas du tout le même, j’avais un peu de mal au début, mais ça va de mieux en mieux. Je ne suis pas un crack mais petit à petit, l’oiseau fait son nid (rires)."
Depuis que vous êtes cycliste, on vous parle forcément beaucoup de votre père. N’est-ce pas parfois pesant ?
"Non, j’ai l’habitude, parce que déjà, quand je faisais de la course à pied, on m’en parlait. Dans mes études de Staps aussi. Tu apprends à vivre avec. Tant qu’il n’y a pas de mauvaise pensée, ça va. Des fois, ça peut être un peu lourd, mais tout dépend comment c’est dit. Généralement, ça ne me gêne pas plus que ça. En fait, l’an dernier, on ne m’en parlait pas du tout en course parce qu’on ne me connaissait pas forcément. Maintenant, je suis dans une des deux seules N1 de la région, on m’en parle un peu plus."
Le coureur de l’Occitane Cyclisme Formation sera au rendez-vous de l’Estivale Bretonne ce week-end.
"Avant, je ne faisais que de la course à pied, mais j’en avais un peu marre et j’aimais bien faire du vélo. Vu les antécédents familiaux, j’ai voulu essayer. J’ai commencé la saison dernière en troisième catégorie, je suis monté en deuxième en cours de saison et je suis arrivé à l’Occitane cette saison, en N1. Le niveau n’est pas du tout le même, j’avais un peu de mal au début, mais ça va de mieux en mieux. Je ne suis pas un crack mais petit à petit, l’oiseau fait son nid (rires)."
Depuis que vous êtes cycliste, on vous parle forcément beaucoup de votre père. N’est-ce pas parfois pesant ?
"Non, j’ai l’habitude, parce que déjà, quand je faisais de la course à pied, on m’en parlait. Dans mes études de Staps aussi. Tu apprends à vivre avec. Tant qu’il n’y a pas de mauvaise pensée, ça va. Des fois, ça peut être un peu lourd, mais tout dépend comment c’est dit. Généralement, ça ne me gêne pas plus que ça. En fait, l’an dernier, on ne m’en parlait pas du tout en course parce qu’on ne me connaissait pas forcément. Maintenant, je suis dans une des deux seules N1 de la région, on m’en parle un peu plus."