Vélo Confluence

Bonjour à Tous-tes,
Cet après-midi, Charles règle des problèmes de bureaucratie au lendemain de l’Assemblée Générale et Quentin fait chauffer sa Carte Visa dans les magasins pour ses préparatifs de Noël. Alors, Fred, Stéphane et Moi profitons de leurs absences et du soleil pour nous éclipser en douce, afin de faire une sortie très cool, ludique et conviviale.


Nous décidons de bloquer le limiteur de vitesses à 25 km/h maxi.
Les premiers “pas” d’un SURFEURae, dans le Lac de la Ramée, nous invite à une halte pour le regarder.
Il semble que le VTTae soit plus facile que le SURFae. Et ce ne sont pas Fred et Stéphane qui diront le contraire.

Nous rejoignons les bords du Touch. Ça patine un peu avant d’en sortir.
Ensuite, nous atteignons les Lacs de Bidots par la longue petite route goudronnée que Stéphane apprécie (me semble-t-il) parce que nous lézardons au soleil.
Nous profitons des bassines du chemin de Bidots pour nettoyer nos roues et... nos chaussures.
Le retour se fait par le chemin du bord du canal de Saint Martory jusqu’à l’Impasse Densus à Villeneuve Tolosane. Nous le quittons au moment où il est maintenant cimenté en allant vers la Ramée. Stéphane nous fait remarquer que ça fait des circuits de terre en moins (il me semble qu'il a les boules, ce qui, en cette période de Noël est tout à fait normal).
Puis, c’est la traversée de Roques et de la Garonne à Pinsaguel.
Bonne nouvelle, la passerelle qui enjambe l’Ousse, derrière l’usine de retraitement des eaux usées, est réparée. Merci à ceux qui l'ont remise en état.
(S’il te plait Quentin, maintenant tu descends du vélo quand tu y passes).
Par contre un peu plus loin, il y a un nouvel arbre tombé en travers du sentier que Fred a évalué à environ une tonne. Avec une bonne corde, c’est possible de le déplacer ?
Comme vous pouvez le remarquer sur la photo ci-dessous, les vélos sont propres.
Mais comment est-ce possible en cette saison, me direz-vous ?
Pour ça, il suffit de trouver les bons circuits et surtout demander… comment débrancher le tuyau expandable flexible du robinet
de la salle de bains - WC du club house si vous ne connaissez pas l’astuce.

Merci à Stéphane qui nous a offert le vin chaud à la cabane des Mères Noël de Roquettes.

A plus,
marco
PS : N’oubliez pas d’effeuiller la page de l’Éphéméride tous les matins viewforum.php?f=2

Bonjour à Tous-tes,
L’un d’entre vous m’a téléphoné parce qu’il ne comprenait pas ce qu’il s’est passé dans la salle de bain-WC du club-house.
C’est très simple.
Pour doucher nos vélos au retour d’une rando un peu boueuse, il ne faut pas nécessairement une salle de bain, mais un tuyau et un robinet.
Or, au club-house, le robinet est dans la salle de bain.
Et petit détail qu’il faut connaître, le tuyau d’arrosage du CVT est “un expandable flexible”.
Donc Fred a passé le tuyau de l'extérieur par le vasistas de la salle d’eau qui est en hauteur (détail qui a son importance pour la suite), pour le brancher au robinet intérieur.
Une fois les ablutions des vélos terminées, j’ai été dans la salle de bain pour fermer le robinet et débrancher le tuyau.
Et c’est là que, lorsque tu ignores ce qu’est un “tuyau expandable flexible”, la suite prend toute son importance. En effet, il faut savoir que du fait d’être extensible, ce genre de tuyau, se gonfle, s’allonge et la pression augmente à l'intérieure.
Et quand je vous dis que la pression augmente, elle augmente “grave” !
Donc après avoir fermé le robinet, je débranche le tuyau.
Vous voyez la suite ? Non ?
Au moment où je débranche le tuyau, la pression se libère, le tuyau m’échappe. Il part dans tous les sens, genre serpent agressif pendu par la queue, crachant au passage son venin sur mon casque, mes lunettes et ma veste thermique.
Mais ce n’est pas fini. Attendez la suite !
A ce moment-là, je me dis que j’ai mal fermé le robinet. Comme je n’y vois plus rien, je pars à tâtons à sa recherche ; je le trouve, je le rouvre et je prends un bain de pieds.
Vous voyez le tableau ?
Donc l’astuce à savoir avec ce genre de tuyau, est de le vider avant de le débrancher. C’est tout con !
A plus,
marco