Même en équipe nationale en 1967-68.
Raymond Poulidor faisait fumer son braquet pour aller chercher ses huit podiums et sept étapes dans la Grande Boucle.
Cet endroit où il s'est forgée sa fausse renommée d'éternel second.
La faute à ce sapristi de Maillot Jaune qui lui a toujours fait des clins d'oeil de loin ou à quelques centièmes, de 1962 à 1976...
Il était aimé des Français :
"Jeune, j'étais poulidoriste. Cest un superchampion, ce qui n'enlève rien bien sûr à Jacques Anquetil et Eddy Merckx, qui sont eux-aussi des superchampions."
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Je pense qu ' il était dans le cœur de tous les français ..
En plus de ses qualités de cycliste c' était un homme à l ' humilité et à la gentillesse qui a fait de lui le chou chou de plusieurs générations .
J ' aimerais qu ' en son souvenir on puisse appeler son petit fils ..Van Poupou
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Vous avez remarqué qu'il ne faisait jamais le malin quand il gagnait une course, il hurlait pas ne levaient pas les deux bras comme un fou (un bras au maximum et à peine) plein de modestie toujours) bon son petit fils est plein de talent mais il n'a pas la même retenue. Bravo à Poulidor.
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